Vivre en toutes lettres : le cas Sévigné

Cette journée d’étude propose d’explorer la question du « vivre » dans la Correspondance de Madame de Sévigné.

Organisée par Mathilde Vanackere (DYPAC, Université Versailles-Saint- Quentin-en-Yvelines) , Nathalie Friedel (Wilfrid Laurier University) et Jean-Charles Darmon (UVSQ-République des savoirs/CRRLPM)

Avec le soutien du labex transfers , dans le cadre du programme "Critique et éthique".

Jeudi 15 Juin 2017 Ecole normale supérieure Salle L357-359 24 rue Lhomond  
9h30 : Accueil 10h : Introduction
Mathilde Vanackere (DYPAC, Université Versailles-Saint- Quentin-en-Yvelines) : Libertés vitales
Présidence : Emmanuel Bury
10h30 : « Sévigné à Thélème : écrire, c’est vivre ensemble ».
Nathalie Freidel (Wilfrid Laurier University)
11h30 : « Le “libertinage” de Sévigné : manière de dire et forme du vivre ».
Michèle Rosellini (UMR 5317 - IHRIM, ENS de Lyon)
Pause déjeuner
Session 2 : Quotidiennetés
Présidence : Nathalie Freidel
14h : « Le récit comme réveil ».
Laure Depretto (Service du Dictionnaire, Académie française)
15h : « Hygiène de vie et souci de soi chez Mme de Sévigné ».
Florence Orwat (CPGE Lycée Pasteur, Neuilly sur Seine)
Pause café
Session 3 : Horizons modernistes
Présidence : Michèle Rosellini
16h15 : « “Sévigné n’aurait pas mieux dit !” (Proust) : trafics de lettres, trafics de vies ».
Anne Simon (CRAL, EHESS)
17h15 : « “I make it real by putting it into words” : Woolf, Sévigné et Mrs Brown ».
Xavier Le Brun (EMMA, Université Paul-Valéry Montpellier 3)
   

Mis à jour le 13/6/2017