Publication scientifique
Cet article diffusé le 16 avril 2019 sur The conversation, a été co-écrit par Adélaïde de Lastic, docteure en philosophie de l’entreprise à l’École normale supérieure (ENS), Anne-Laure Thessard, doctorante en philosophie et sémiotique à Sorbonne Université, et Volha Litvinets, chef marketing de recherche chez Fairmarkit qui prépare actuellement un mémoire de philosophie sur l’éthique de l’intelligence artificielle dans le domaine du marketing à Paris-Sorbonne.
Au cœur de nombreux processus biologiques, les interactions protéine-protéine régissent la façon dont les cellules réagissent et interagissent avec leur environnement. Bien que ces interactions puissent être stables et de longue durée, bon nombre des plus importantes et des plus difficiles à détecter sont dynamiques et transitoires.
Les médicaments deutérés, au sein desquels on remplace sélectivement certains atomes d’hydrogène par des atomes de deutérium, ont récemment fait l’objet de beaucoup d’attention. La deutération de fragments choisis de médicaments déjà existants peut en effet améliorer leurs propriétés pharmacocinétiques. Les liaisons C-D étant plus stables que les liaisons C-H par rapport aux dégradation enzymatiques, les médicaments deutérés peuvent présenter une demi-vie prolongée dans le corps et il est ainsi possible de réduire leur posologie et d'atténuer leurs effets secondaires.
// Les chercheur.e.s du Pôle Théorie du Département de Chimie ont élucidé le mécanisme qui confère ces propriétés électriques exceptionnelles au graphène et à son homologue à base de nitrure de bore. La réactivité interfaciale exceptionnelle mise en évidence dans cette étude permet de comprendre l’intérêt de ces matériaux pour la production d’énergie bleue et le dessalement de l’eau.
Produire de l’énergie « verte » avec un matériau hybride à base d’acide aminé naturel
Des physiciens du Laboratoire Kastler Brossel (ENS/CNRS/SU/CdF) viennent de réaliser un nouveau dispositif expérimental permettant d’étudier la «lumière liquide», un phénomène où la lumière se propage de manière analogue à un superfluide.
Un article de Nature, du 20 novembre 2018, met à l’honneur l’implication et l’engagement social des étudiants diplômés.
Un nouveau thermomètre océanique montre que les océans ont absorbé 60% de chaleur en plus qu'on ne le pensait.